L'an prochain, les frais de roaming devraient définitivement disparaitre pour la grande majorité des habitants de l'Union Européenne…
L'Europe est en ébullition après le départ des anglais et de nombreuses décisions sont ajournées : hormis l'étude du cas Barroso par le Comité d'éthique (il travaille chez Goldman Sachs, l'une des banques impliquées dans la crise de 2008), la politique des frais de romaing est en cours de révision.
Ainsi alors que le roaming ne devait être gratuit que 90 jours par an l'an prochain (pour profiter selon une étude à 90% des européens mais au contraire d'une annonce effectuée en octobre 2015), des critiques adressées au président de la Commission Européenne, Jean-Claude Juncker, ont bousculé ce projet.
Les étudiants notamment souhaitent que le roaming soit gratuit plus longtemps alors qu'ils sont nombreux à étudier dans un pays étranger en Europe.
«Le roaming gratuit devrait l'être toute l'année. En le limitant à 90 jours, il semble que la Commission sot en retrait par rapport à ses promesse» a décalré Guy Verhofstadt, de l'Alice des libéraux et démocrates en Erope.
Le président de la Commission Européenne a ainsi demandé de revoir le projet qui devrait être amélioré.
«Dès la semaine prochaine vous verrez un projet bien meilleur» a déclaré Jean-Claude Juncker dans son discours sur l'Union.
L'arrêt de mort du roaming pourrait permettre de créer un marché unique numérique dont la valeur est estimée à 415 milliards de dollar par an: selon l'Union Européenne ce marché pourrait créer potentiellement des milliers d'emplois .
Les opérateurs pour qui le roaming était une importante source de revenus ne voient sans doute pas cette décision de la même manière…